SEYCHELLES : UNE INVITATION AU VOYAGE…

SEYCHELLES : UNE INVITATION AU VOYAGE…

Jean-Charles vient de rejoindre la Charly’s team !

Diplômé en sciences politiques, curieux et voyageur, il a vécu dans de nombreux pays – pour les Nations Unies notamment – avant de travailler dans l’univers du voyage. C’était il y a 10 ans. Et pour nous faire rêver, il partage une destination coup de cœur : les Seychelles…

Seychelles

Mais qui dit destination balnéaire, dit crainte de tourner en rond… Cela ne s’est pas du tout passé comme ça pour Jean-Charles : « En visitant trois îles, on ne s’est pas ennuyés une seule seconde. D’abord Mahé, une île magnifique, avec des montagnes escarpées couvertes de jungle tropicale et des plages à n’en plus finir. Quel plaisir de la découvrir au volant de son véhicule de location.

Seychelles Un nom qui sonne comme un intrigant murmure.

De là, La Digue, accessible en bateau. Sur place, on se déplace à pied ou à vélo. Attachante et authentique, la petite île ne compte qu’un village. On y va pour oublier le monde, vivre au ralenti et profiter des plages paradisiaques. Enfin Praslin, sorte de jardin d’éden, avec ses plages de sable blanc bordées de palmiers, sa forêt luxuriante, l’eau limpide et sa douceur de vivre… « 

Seychelles Un nom qui sonne comme un intrigant murmure.

Quand partir ?

Aux Seychelles, c’est un peu l’été toute l’année ! Température moyenne de 30°c, celle de l’eau entre 26 et 30°c. À choisir, peut-être éviter décembre et janvier, avec risque de pluies plus présent. 

Born to be Wild

Born to be Wild

Cet été, l’Afrique Australe était sur votre liste de favoris, et de nombreux voyageurs ont pu savourer la meilleure période pour parcourir la région. En effet, à la saison sèche, il est plus facile de repérer la faune sauvage qui se rassemble autour des quelques rares points d’eau. C’est aussi une période de forte migration pour les gnous. Cela dit, d’autres moments sont tout aussi favorables notamment pour observer des bébés animaux dans la nature subsaharienne. L’image, même si stéréotypée, n’est-elle pas une expérience à elle seule et l’un des points forts d’un safari ?

Sa majesté le Lion.

Vous vous régalerez de voir des lionceaux se chamailler, jouer entre eux, ou se faire câliner par les tantes bienveillantes. Ou encore assisterez, à l’heure du repas, à l’apprentissage consistant à tuer une petite gazelle ou un bébé dik dik, leçon qui dure, puisque que le lion n’est pas censé chasser pendant sa première année. L’animal le plus convoité du continent vit en groupe familial, comptant parfois jusqu’à une quinzaine de membres. Deux ou trois frères le composent et quelques dix femelles avec leurs petits. De façon communautaire, les lionnes donnent vie à leur progéniture plus ou moins à la même période, elles s’occupent également des petits de leurs congénères. Une portée peut compter six lionceaux mais leur survie est compromise à cause des défis auxquels ils sont confrontés comme le manque de nourriture ou les prédateurs. Seuls les plus agiles perdureront.
Le comportement démonstratif des lions, observable quand les mâles se frottent et lorsque les femelles se toilettent, est unique chez les grands félins. Les études dévoilent que cela les aide à maintenir de forts liens sociaux. Lorsqu’ils ne se reposent pas, les mâles eux s’attèlent à défendre le territoire, patrouillant, le marquant de leurs odeurs et émettant des rugissements redoutables pour communiquer avec les leurs. Vous pourrez en ressentir la vibration tellement le phénomène est intense ! Et c’est au Serengeti que vous en verrez le plus, puisqu’il est dénombré environ un lion par kilomètre carré dans le deuxième parc national africain en Tanzanie. La période de gestation d’une lionne est très courte, 110 jours. La majorité des naissances concorde avec la saison des pluies, cela dit comme ils se reproduisent toute l’année, vous pourrez donc en voir quelque soit votre date de voyage.

Raconte-moi une histoire !

Tout en force et sagesse.

Que ce soit la première ou la cinquante et unième fois que vous vous trouver nez à nez avec un éléphant, il est fort probable que vous soyez impressionnés. Lorsque l’animal de deux mètres minimum passe à proximité, et encore lorsqu’un groupe entier défile non loin de là. Vous resterez silencieux à la vue d’un troupeau traversant la route juste devant vous ou même se diviser autour de votre véhicule. Aux yeux de la faune sauvage, les hauts 4×4 sont comme de gros rochers ou des arbres, posés là, sans intérêt et plutôt comme un obstacle à contourner. L’espèce vit en très larges groupes multigénérationnels majoritairement composés de femelles avec en tête la plus ancienne. Chacun des membres s’occupant des petits, pendant leurs cinq premières années. La vie en communauté, dévoilant une formidable entraide et beaucoup d’amour, est remarquable chez cette espèce. Très souvent, les autres femelles de la famille se mobilisent pour aider les mères à assurer la protection des plus jeunes.
Avec chance, votre découverte sera marquée par les jeunes, certains à l’ombre de leur mère ou chipant les écorces d’arbres aux plus grands. Vous vous émerveillerez de les voir utiliser leur trompe pour se démontrer des signes d’affection. Le clou du spectacle se passe au moment du bain. Les pachydermes profitent des points humides pour se rouler par terre, enduisant leur corps de boue protectrice du soleil et de la chaleur, et se maculant d’eau pour hydrater leur peau. Pendant la saison sèche, ils utilisent leurs défenses pour creuser le lit des rivières asséchées créant ainsi des points d’eau où d’autres bêtes peuvent se désaltérer. Ces mammifères terrestres sont des reproducteurs non saisonniers c’est-à-dire qu’ils peuvent mettre bas à tout moment de l’année, après une gestation de 22 mois, la plus longue sur terre ! A partir de l’âge de 12 ans, les mâles quittent le clan et entament alors une vie solitaire dans la jungle ou dans la savane.

INARA-CAMP

Une des créatures les plus grandes du monde ! 

Le rhinocéros tire son nom de l’une de ses caractéristiques physique. Il vient du grecs rhino qui signifie « nez » et ceros qui signifie « corne ». Les femelles ne mettent bas que tous les deux à quatre ans et n’ont qu’un seul petit à la fois. Cela leur permet d’être très attentives et protectrices, augmentant le taux de survie des rhinocérons. La tragique menace est liée au braconnage qui laisse des petits orphelins. Certains humains pensent que l’intérieur de leur corne peut participer à l’élaboration de produits « miracle», à ce jour jamais démontré scientifiquement. En effet, leur corne est faite de kératine, il arrive qu’elle se casse parfois, mais repoussent. Les femelles l’utilisent pour protéger leurs petits des prédateurs : les lions, crocodiles et léopards. Les jeunes rhinocéros restent parfois avec leur mère jusqu’à la venue d’un frère ou d’une sœur, lorsqu’ils ont deux ou trois ans, presque la taille adulte et quasiment prêts à vivre seuls. Le bébé d’un rhinocéros noir court toujours derrière sa mère, alors que celui d’un blanc sera devant elle.
Les rhinocéros noirs femelles ont des territoires qui se chevauchent et ne sont pas vraiment aussi solitaires qu’on le pense, au contraire des mâles. Aux heures les plus chaudes, vous les trouverez avachis à l’ombre ou se prélassant dans la boue qu’ls adorent eux aussi. Vous verrez très souvent des oiseaux perchés sur leurs têtes, les pique-bœufs, qui mangent les tiques et autres parasites. D’ailleurs en swahili son autre nom est askari wa kifaru : « le gardien du rhinocéros ». Des chercheurs ont constaté que son cri avertit, entre autre, lorsque des braconniers menacent !
Le saviez-vous ? Un mâle peut peser jusqu’à 2 500 kilos et une femelle jusqu’à 1 400 kilos, et peuvent mesurer jusqu’à 4 mètres. La gestation dure de 15 à 16 mois.

Qui c’est qui joue  ?

Et c’est encore mieux d’en haut !

Découvrez la beauté du Masai Mara à bord d’une montgolfière. A l’aube laissez-vous portez par les vents, de la cime des acacias ou plus haut jusqu’à voir se courber la ligne de l’horizon. La perspective est unique et permet de balayer d’un regard cette riche faune entre vastes plaines, rivières scintillantes et buissons verdoyants. Vous aussi, assistez au lever du soleil illuminant ces terres infinies débordant de vie. Guettez les girafes broutant les feuillus, les gazelles bondissantes à travers les étendues ou encore amusez-vous à chercher les hippopotames camouflés dans l’eau. Vous y serez témoins des rituels quotidiens de toutes ces espèces à l’état sauvage et comprendrez mieux les enjeux de conservation de cet écosystème fragile.

Au Serengeti de nombreux petits voient le jour au cœur de l’été. Les mois d’octobre et novembre sont donc idéals pour visiter le parc si vous voulez voir des jeunes lionceaux jouer, des poulains zèbres ébouriffés ou des impalas collés à leur mère. Une expérience encore plus près de la faune sauvage que dans votre imagination… sentez le souffle du buffle et le tonnerre des sabots du gnou, tout cela bien en sécurité au côté de votre guide privé, juste entre vous, à bord de votre propre véhicule ouvert par le toit.

 

Quelques chiffres impressionnants :

  • la gestation de l’hippopotame peut aller jusqu’à 250 jours,
  • celle du zèbre jusqu’à 390,
  • et celle de la girafe jusqu’à 450 !

 (Re)découvrir Marrakech 

 (Re)découvrir Marrakech 

Marrakech sous un angle inédit

De Marrakech, on croit tout connaître. Sa légendaire douceur de vivre et son dépaysement absolu à quelques battements d’ailes. Pourtant, esthètes et épicuriens se laissent vite surprendre tant la ville rouge bouge. Surtout qu’à Marrakech, les locaux sont particulièrement fiers que la ville n’ait jamais arrêté d’accueillir de nouvelles adresses malgré la crise très difficile que le pays vient de traverser.

Bonnes adresses, spots tendance et découvertes hors-pistes…

Notre carnet d’idées pour (re)découvrir Marrakech.

 

Se perdre avec délice dans la médina de Marrakech

Ses portes secrètes, ses ruelles étroites et ses souks étourdissants vous immergent dans l’expérience sensorielle qui envouta les peintres Majorelle et Delacroix. C’est alors que vous tombez nez à nez avec une pépite arty… la médina – qui se renouvelle sans cesse – entrouvre alors une porte que vous n’attendiez pas : celle des boutiques de créateurs, des concept-stores hétéroclites et des rooftops insolites.

Les Jardins du Lotus s’étendent dans une splendide demeure du 19ème siècle. C’est un lieu glamour, girly tendance avec un super DJ, une de nos meilleures adresses de Marrakech pour de la Slow Gastronomy, savoureuse, créative et organique.

Bacha Coffee – un bijou au sein du Dar El Bacha – Musée des Confluences. Ancien palais, cet élégant salon de thé cache un restaurant de haut niveau. La décoration et la vaisselle sont absolument ‘wow’. Un voyage colonial dans le temps. Et surtout le nouveau Dar Dar Rooftop – la plus belle terrasse pour le coucher de soleil et une touche d’humour. Excellent DJ, lieu trendy et authentique.

Musée Yves Saint Laurent

(Re)découvrir Marrakech d’art d’art

La ville dégage cette aura irrésistible qui aimante les artistes en quête d’inspiration. Parmi eux, Yves Saint Laurent incarne le chef de file. Les collections du musée éponyme rendent hommage à ce lien indéfectible qui liait le grand couturier à la cité ocre. On est d’emblée saisi par les courbes haute-couture du bâtiment et l’envoutante scénographie. L’émotion poursuit sa course dans le Musée de la photographie qui donne des couleurs aux images d’archives. Mais on peut lui préférer le récent MACAAL pour découvrir certaines des plus belles œuvres d’Art Africain Moderne. Entièrement rénové, le Musée Dar Si Saïd, propose un parcours dans le savoir-faire ancestral et authentique, celui du tissage et du tapis à travers un joyau de l’architecture arabo andalouse.

INARA-CAMP

Savourer une retraite hédoniste dans le désert d’Agafay

Imaginez des monts minéraux et tout autour de vous des paysages ondulés de rocailles. En leur cœur, une oasis de verdure cache un camp du désert au charme chic et épuré pour vivre une irrésistible expérience de glamping le temps d’une nuit ou plus. Méditation, randonnées à dos de dromadaires, VTT, dîners sous la voûte céleste et balades en side-car vintage vous occupent. Vous êtes dans le désert d’Agafay, à seulement 30 km de Marrakech et pourtant bien loin du tumulte…
Inara Camp : une collection de tentes style safari raffinées d’inspiration berbère. Confort et gastronomie sont au RDV. Une piscine enrichie les lieux et les activités ne manquent pas dans cette oasis fondue dans l’environnement.

https://www.anima-garden.com/andre-heller/

Découvrir la ville ocre sous un angle vert

Dans le Jardin Majorelle, la villa au bleu hypnotique et ses allées ombragées reflètent les souvenirs de Pierre Bergé et d’Yves Saint-Laurent. Eh bien il faut désormais compter sur son rival: le Jardin Anima, imaginé par l’artiste André Heller. Sur la route de l’Ourika, les sens en éveil, vous déambulez entre les œuvres contemporaines et la biodiversité locale foisonnante.

@palaisronsard

Tomber sous le charme de l’hôtellerie marocaine

Le Palais Ronsard a ouvert ses portes en 2019, au cœur d’un lieu préservé de la palmeraie, à moins de dix kilomètres de la médina. Relais & Château, cette nouvelle demeure s’étend sur une superficie de 3 000 m² de jardins luxuriants. Cet écrin révolutionne l’hôtellerie de luxe à travers son côté maison d’hôtes VIP mais à l’ambiance familiale. Entre tradition marocaine et esprit Art Déco, on y va aussi pour son Brunch, tous les dimanches au restaurant Le Verger. 

Une destinations à part entière, le Royal Mansour en est ! Ses riads intimistes, son spa enchanteur, ses restaurants de haute volée, ses jardins andalous, son luxe attentionné et discret.

Le Riad El Fenn, bien planqué dans un ancien palais de la médina n’est pas en reste. Dans une décoration léchée, vous savourez cette façon unique qu’ont les marocains d’appréhender la vie. Les instants perchés sur le toit-terrasse, les siestes au bord de la piscine, les soins régénérants, le luxe décontracté des suites… Tout concoure à vous plonger dans une bulle de sérénité auquel nul pacha ne résisterait. 

Musée des Confluences - Dar El Bacha

Parcourir pas moins de 10 siècles d’histoire marocaine

Visiter Marrakech, c’est plonger dans l’histoire tumultueuse des dynasties qui forgèrent, au fil des siècles, les joyaux de son architecture. Au Palais el Bahia, au musée Dar Si Saïd, ou le palais el Badi, en tout lieu, les sens sont étourdis par le raffinement, l’équilibre et l’harmonie des détails. Partout, l’héritage de la tradition arabo-andalouse est rehaussé par le murmure des fontaines, la végétation abondante et l’intensité de la lumière si particulière du Maroc.

jajjah-by-hassan-hajjaj

S’offrir un shoot d’effervescence créatrice

Lorsque l’artisanat traditionnel marocain fusionne avec les lignes de la créativité contemporaine, cela donne des concept-stores, des boutiques de créateurs et des showrooms au carrefour des tendances. Les inconditionnels ne résistent pas à une immersion dans l’insolite résidence artistique du Jardin Rouge. L’éden pictural et sculptural de la fondation Montresso déploie un musée vivant à ciel ouvert qui balance entre ateliers, galeries d’expositions et fresques street-art.

Parmi les nouveautés, «Jajjah» à Sidi Ghanem la zone industrielle abritant une galerie dévoilant des artistes prometteurs de la place, et une boutique de l’artiste Hassan Hajjaj. L’endroit allie parfaitement art & food – local et traditionnel. Hassan n’utilise que des objets recyclés de la vie quotidienne locale.

Azalai Urban Souk, adresse totalement atypique, restaurant concept store où la cuisine marocaine revisite des saveurs oubliées. Comme dans un riad au cœur de Guéliz, avec en plus l’opportunité de repartir avec des accessoires et objets déco du coin boutique.

Pour finir en beauté : l’intemporel institut Les Sens de Marrakech, à Sidi Ghanem où les produits sont fabriqués à base d’huile d’argan, de pépins de figue de barbarie et d’aloe vera le tout conditionné par les artisans marocains. Tous les ingrédients sont d’origine naturelle et locale tout en respectant l’environnement et les cultures.

Marra

(Re)découvrir la ville ocre du ciel

Emerveillement lorsque la nacelle d’osier s’envole dans le ciel et que les premières lueurs du jour dévoilent les paysages saisissants du Maroc au son des brûleurs. Sous vos pieds puis tout autour de vous, tout se révèle sous un angle inédit. Chaque minute dans cette montgolfière confère à votre souvenir de Marrakech une intensité douce, légère et aérienne. Vous prendrez bien un petit-déjeuner avec la vue ? Ou une coupe de champagne ?

Kasbah Bab Ourika

Respirer un grand bol d’air dans l’Atlas

Comment résister à l’appel des montagnes de l’Atlas ? La vallée rieuse d’Asni, les cultures en terrasse de la vallée d’Ait Oucheg et la beauté minérale du Parc National du Toubkal vous réservent bien des frissons. Vous pagayez en kayak sur un lac d’altitude, vous défiez le vertige sur le plus grand parcours aérien d’Afrique et explorez des hameaux berbères baignés d’authenticité. Et pourquoi pas à l’assaut du plus haut sommet de l’Afrique du nord (4167 mètres). Ou comment donner encore plus de relief à votre séjour…

Bab Ourika, fondue dans le paysage sur une colline surplombant la vallée de l’Ourika est une superbe version berbère d’un cottage anglais avec ses jardins fleuris, construite uniquement en matériaux naturels. On y est bercé par la gentillesse du service et les vues panoramiques sur les montagnes. Une très bonne note pour les panneaux solaires, système de recyclage de l’eau et ingénieux bio-digesteur dans cette Kasbah des plus écologiques du royaume. Le chef n’utilise que des ingrédients biologiques provenant de son propre jardin et des marchés voisins.

Saudi Pavilion @Alefa Press

Jouer les prolongations nocturnes

Pour vous emmener jusqu’au bout de la nuit…selon les envies. Chiller dans une brasserie à la déco des années 20 (Grand Café de la Poste). Siroter un cocktail sur un rooftop à la vue instagrammable (Sky Lounge The Pearl). Dîner au son du tambourin dans un riad du XIXème siècle (Lotus Privilège). S’encanailler dans l’antre emblématique du monde de la nuit marrakchi (Comptoir Darna). Vibrer dans l’ambiance glamour d’un club mythique (Lotus club).
Le Palace, autour d’une ambiance chic et élégante au sous-sol puis dans une atmosphère décontractée au rez-de-chaussée.
Le Bo Zin sur la route de l’Ourika, invite à passer une soirée entre métissage, élégance et sobriété. L’ambiance musicale sublime la carte qui allie gastronomie thaïe et marocaine.

Jad Mahal est une invitation au voyage, un verre à la main au son des musiciens, la décoration associe l’excellence de l’artisanat marocain avec la chaleur des couleurs indiennes.

Notre coup de cœur:
Quartier de Guéliz : La Collégiale. Tenu par deux Christian, en couple depuis 40 ans, des phénomènes bavards et drôles. C’est une petite institution où l’on mange bien – français et méditerranéen. On y va pour l’accueil très chaleureux, l’ambiance vieux cabaret des années 60, et le service de qualité.

Quelques idées à personnaliser avec l’équipe Charly

Pour un voyage oriental et singulier. 

  • Respirer un grand bol d’air dans l’Atlas
  • Se perdre avec délice dans la médina
  • Parcourir pas moins de 10 siècles d’histoire marocaine
  • Séjourner dans une adresse d’initiés parmi les plus exclusives de la ville 
  • S’offrir une parenthèse far niente et glamour dans un “Riad” d’exception

Y aller 

Meilleures périodes :

De septembre à juin 

Vols directs au départ de:

Paris. Bruxelles. Milan. 

Durée de vol approximative :

4h à 4h30 

Durée de séjour conseillée:

5 nuits / 6 jours

Vie sauvage express

Vie sauvage express

– VERSION PRESTIGE EN 7 NUITS –
La nature originelle, sauvage et démesurée des derniers édens africains vous attire ?
Vous rêvez de toucher du doigt le bout du continent, de percer les mystères des sources de l’humanité, de ne faire plus qu’un avec des chutes vrombissantes au nom mythique ?

Vous pensez que ce doux rêve est impossible car vous ne n’avez que quelques jours à consacrer à votre voyage ?

Pas de panique ! La Charlyteam a pensé à tout pour donner vie à vos envies.
3 pays, 3 régions, 3 expériences signent cette échappée un peu folle

à travers ce que l’Afrique a de plus exclusif à vous offrir.

Acte I : L’AFRIQUE DU SUD – effervescence éclectique et nectars divins

C’est à la pointe du continent africain (ou peut-être bien du monde !) que tout commence lorsque vous vous réveillez dans les bras de celle que l’on surnomme la cité-mère de l’Afrique du Sud. D’un côté, la mer apporte le repos nécessaire à votre âme et à votre esprit. De l’autre, la silhouette iconique de Table Mountain vous invite à jouer les aventuriers et les contemplatifs. Vous vous perdez dans le sanctuaire végétal des jardins de Kirstenbosch, taquinez les pingouins de Boulders beach et sillonnez l’une des routes côtières les plus spectaculaires du monde. L’enchantement est à son summum lorsque l’hélicoptère vous propulse dans les airs de la Riviera afro chic. Mais les plaisirs multi-sensoriels n’ont pas encore dit leur dernier mot. A moins d’une heure de la lumineuse cité du Cap, volupté des grands crus et douceur des Winelands vous enivrent délicieusement. Votre itinérance australe ne fait que commencer…

Au programme:

3 nuits entre Capetown & la région des vins

– Depuis la Table mountain, survol privé des 3 baies (Big Bay, Long Beach et False Bay) en hélicoptère.

– Journée de découverte de la péninsule du Cap de bonne Espérance (jardins Botaniques, Boulders Beach, Cape Point, les routes panoramiques de la côte).
– Découverte des vallées et montagnes devenues synonymes de certains des meilleurs vins du monde et dégustations chez des petits producteurs non ouverts au public avec guide local spécialisé.

2 nuits au Cape Grace à CAPETOWN
Situé directement au coeur du fameux Waterfront, l’ambiance marine y est unique et les vues aussi bien sur les bateaux en réparation que sur la montagne de la Table. Résultat : une étape authentique de tout premier choix.

1 nuit au Delaire Graff « Relais&Château » à STELLENBOSCH
Certainement l’établissement le plus prestigieux de la région des vignobles. Depuis les suites, les vues sur les montagnes et les vignes sont spectaculaires.

Acte II : LE BOTSWANA – une expérience de safari ultime 

D’un coup d’aile, vous vous posez au cœur de l’Afrique des paradis sauvages et des écosystèmes. Soudain ramené tout petit face à l’immense delta de l’Okavango, vous assistez béat, aux noces de la brousse et de l’eau. Les journées s’écoulent paisiblement entre observation de la faune et navigation à travers les îles et les marais bordés de roseaux et de papyrus… Face à vous se joue un théâtre de plein air dont les principaux protagonistes sont les lions, les buffles, les éléphants, les gazelles, les gnous, les girafes et les crocodiles. Puis vient l’heure de succomber à la romance africaine. C’est alors que votre lodge, abrité sous les bois d’ébène vous ouvre son oasis de confort au charme du siècle dernier. Antiquités, coffres, bois sculptés et terrasses sur pilotis en bois de teck… Tout a été pensé pour raviver les sensations des premiers explorateurs. Y compris l’accès, exclusif et limité à ce territoire à la beauté singulière qui abrite l’un des derniers sanctuaires de nature intacte.

Au programme:
2 nuits au coeur de l’Okavango
– 2 safaris,  matin & soir, avec ranger anglophone spécialisé en 4×4 ouvert ou à bord d’une embarcation légère, un mokoro sur le Delta.
Duba Plains Camp
5 tentes seulement, installées sur une île au coeur du Delta dans une réserve privée de 33’000 hectares pour une expérience de safari intime dans un décor d’explorateurs pionniers.
Membre de Relais & Chateaux et Unique Lodges of the World.

Acte III : LE ZIMBABWE – Vertige de la nature

Les rives du tumultueux fleuve Zambèze, loties aux confins du Zimbabwe et de la Zambie marquent la dernière étape de votre voyage en Afrique Australe. C’est sur ces terres à la beauté primaire, que le sol engloutit l’une des plus belles rivières du continent. Le grondement des eaux qui dégringolent dans un grand saut assourdissant marque de son empreinte sonore l’un des spectacles de la nature les plus étourdissants du monde. En ce lieu où fleurissent les arcs en ciel et les gouttelettes de vapeurs en suspension, les grandes eaux de l’Afrique épousent une nature tropicale exubérante. Aucun mot ne peut décrire la sensation provoquée par la vision de Mosi-oa-Tunya, « la fumée qui gronde » (le nom local des chutes Victoria) depuis votre hélicoptère. Mais le théâtre animalier qui se joue en aval des chutes vous happe déjà. Le ballet des oiseaux, le show des grands mammifères et la féerie des couchers du soleil depuis la terrasse privative de votre lodge vous aspirent dans un hors du temps que l’explorateur David Livingstone n’aurait pas songé un instant à quitter…

Au programme:
2 nuits à Victoria Falls dans le parc national Zambezi
– Visite des chutes,
– Croisière au lever ou coucher du soleil sur le fleuve Zambèze,
– Afternoon tea,
– Observation des oiseaux,
– Choix entre 2 safaris matin ou après-midi dans le parc national Zambezi
Victoria Falls River Lodge
Seul à être installé dans le parc national du Zambèze, sur la rive nord du fleuve, il permet un combiné parfait entre safari, visite aux chutes Victoria, confort et dépaysement. Si l’explorateur David Livingstone revenait aujourd’hui, nul doute qu’il choisirait cette adresse. 
Y aller​​
Meilleure période : Entre avril et début novembre
Compter: Env. 15 000€/ personne en business class

3 drôles de dames chez les Big Five

3 drôles de dames chez les Big Five

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L’interview de Simonetta 

Accent chaleureux et énergie contagieuse émanant d’une âme en mouvement perpétuel : Simonetta, notre travel designer s’est prêtée au jeu de l’interview pour vous conter son dernier périple africain.

Ce voyage, c’est celui de 3 générations, 3 femmes passionnées d’Afrique qui ont posé leurs valises au cœur de la vie sauvage et préservée de la Tanzanie du Sud. Un article plein de surprises, d’émotions et de rebondissements qui vous transporte dans les réserves encore inexplorées du continent africain… pour rugir de plaisir !

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Tout d’abord, pourquoi avoir choisi la Tanzanie du Sud ?

« Notre choix s’est naturellement posé sur la Tanzanie du Sud car ses réserves inexplorées, sont moins fréquentées que celles du nord. C’est une nature forte à la beauté intacte et indomptée que l’on retrouve ici. Une Tanzanie vraie, secrète et authentique. La destination parfaite pour réunir 3 femmes passionnées d’Afrique. »

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​​D’où vient cette passion commune pour l’Afrique? « L’amour de l’Afrique remonte à mon enfance… Je devais avoir 10 ans quand ma mère a ramené un lionceau à la maison. A la base, ce lionceau était celui d’un photographe animalier. Il nous le confiait de temps à autre le temps d’aller travailler. Mais nous nous sommes tellement attachés à ce lion qu’il a fini par rester 6 mois à la maison. Mais nous ne pouvions pas le garder au-delà. Aussi, lorsqu’il est parti, cela a été un vrai déchirement. Peu de temps après, une nounou somalienne est venu à la maison. Je crois bien qu’elle a fini de nous transmettre le virus de l’Afrique. De ces souvenirs profondément ancrés dans la mémoire familiale est née notre passion pour l’Afrique qui est devenue le continent de cœur de 3 générations : moi, Simonetta (48 ans), ma mère (83 ans) et ma fille (21 ans). Et de cette passion africaine qui nous lie est née l’idée de ce voyage intergénérationnel. « 

Quel a été le moment le plus fort du voyage? « Il y a eu beaucoup de moments forts. A vrai dire, il y a eu des moments forts dans tous les safaris, tous les jours, tout le temps… Mais si je devais en choisir un, ce serait le face à face avec une famille de jeunes lions dans la réserve de Selous. Ce choix est dans doute lié à ma fascination pour les lions… Quand on se retrouve à un mètre ou à un mètre et demi des lions, on a l’impression de retrouver son âme d’enfant, d’être complètement seul face à la vie animale, de ne plus faire qu’un avec la nature. On se sent attendri, apaisé. On oublie tout. Au-delà de cette sensation puissante, ce qui nous a vraiment marqué à toutes les trois, a été de nous retrouver face à plusieurs générations de lions. Il y avait là deux vieux mâles, des lionceaux et puis plusieurs femelles dont trois qui se détachaient nettement du tableau. Nous nous sommes revues, toutes les trois. C’était comme un clin d’œil. »

​​Le plus grand frisson ? « Une rencontre insolite avec les pachydermes du parc de Ruaha lors d’un safari nocturne. Nous avons d’abord roulé, feux éteints avant de nous arrêter au beau milieu de la réserve et de la nuit. Et puis nous avons commencé à entendre les branches s’agiter de plus en plus fort dans les arbres. Les éléphants étaient là. Il y en avait plein tout autour de nous. Entendre et sentir la brousse procure une sensation vraiment extraordinaire. Puis le ranger a allumé la torche, ce qui n’a pas été du tout (mais alors pas du tout) du gout de la maman éléphant qui se trouvait à 3 mètres de nous. Elle s’est mise à crier de toutes ses forces en plein milieu de la nuit. Elle était dans une colère noire. Même ses bébés, au caractère visiblement déjà bien trempé semblaient nous en vouloir. Ils nous paraissaient gigantesques. Nous nous faisions toutes petites. Nous n’en menions vraiment pas large… »

​​Le plus grand frisson ?« Une rencontre insolite avec les pachydermes du parc de Ruaha lors d’un safari nocturne. Nous avons d’abord roulé, feux éteints avant de nous arrêter au beau milieu de la réserve et de la nuit. Et puis nous avons commencé à entendre les branches s’agiter de plus en plus fort dans les arbres. Les éléphants étaient là. Il y en avait plein tout autour de nous. Entendre et sentir la brousse procure une sensation vraiment extraordinaire. Puis le ranger a allumé la torche, ce qui n’a pas été du tout (mais alors pas du tout) du gout de la maman éléphant qui se trouvait à 3 mètres de nous. Elle s’est mise à crier de toutes ses forces en plein milieu de la nuit. Elle était dans une colère noire. Même ses bébés, au caractère visiblement déjà bien trempé semblaient nous en vouloir. Ils nous paraissaient gigantesques. Nous nous faisions toutes petites. Nous n’en menions vraiment pas large… »

Le plus grand moment de béatitude ?« Il s’agit incontestablement du trek avec les chimpanzés dans le Parc de Mahale Mountain. Le lodge se trouve au cœur d’une réserve à la beauté immaculée que vous rejoignez en petit avion de brousse puis en bateau. Vous êtes ici loin de tout, dans un territoire vierge qui abrite l’une des dernières colonies de chimpanzés sauvages au monde. Devant vous, il y a les eaux cristallines du lac Tanganyka et derrière vous une montagne peuplée de chutes d’eau vrombissantes. Quand vous vous enfoncez dans la forêt, l’excitation est à son comble. Vous êtes aux aguets du moindre mouvement, du moindre signe, du moindre cri, de la moindre feuille qui bouge dans les arbres. Et puis là, soudain, vous les voyez, ils sont partout. Ils savent que vous êtes là. Ils s’arrêtent et vous regardent dans les yeux. Vous leur trouvez un air de famille. Vous ne bougez plus d’un iota. Le temps est comme suspendu dans un rêve éveillé. Le safari pédestre vous offre une leçon d’humilité inoubliable. « 

La sensation la plus forte ?

 « Plonger et nager avec les requins baleines offre des sensations… de taille ! Vous êtes ici au large de l’île de Mafia, dans les eaux du premier parc marin de la Tanzanie. Du bateau, on voit déjà très bien les requins baleines, joueurs, qui glissent le long de l’embarcation et sortent la tête pour attraper le plancton. Pendant que ma mère rencontrait les géants des mers depuis le bateau, moi et ma fille nous jetions à l’eau. A chaque plongeon avec masque et tuba, nous nous retrouvions face à face avec une créature marine géante. Autour de nous, il devait y en avoir 40 ou 50, de les toutes tailles, de toutes dimensions. Leurs silhouettes, leurs mouvements, leur peau tachetée et leur douceur infinie nous ont littéralement envoutées… On est bien loin des dents de la mer ! »

La plus grande émotion 

« Nous étions dans notre lodge qui se trouve être au cœur de l’habitat naturel des léopards. Et une femelle léopard avait justement choisi le bungalow qui se trouvait à côté du notre pour faire ses bébés. C’était à la fois très touchant et attendrissant de voir une maman léopard allaiter ses bébés à quelques pas seulement de notre bungalow. Nous ne remercierons d’ailleurs jamais assez Mère Nature et Mère Léopard de nous avoir offert ce joli cadeau. En guise de supplément, nous avons même eu droit à notre dose d’adrénaline quotidienne car bien sûr, il fallait être vigilent pour ne pas déranger maman léopard et ses petits. Aussi, le soir, les rangers nous accompagnaient pour circuler dans le lodge. C’était une expérience exclusive, une vision féerique très forte que seuls les lodges privés de la Tanzanie du Sud peuvent offrir. On se sent en immersion totale dans la nature sauvage. On est littéralement « Into the Wild ». »

​​La plus grande frayeur ?

« Contre toute attente, la plus grande frayeur de notre voyage en Tanzanie du Sud n’a été provoquée ni par les lions, ni par les léopards mais bien par… un scarabée. Véridique ! Ma fille a une peur bleue des scarabées. Alors, lorsqu’elle en a trouvé un dans la tente, elle s’est mise à hurler comme une hystérique. J’ai immédiatement attrapé un verre pour emprisonner la (petite) bête et le sortir de la tente mais malgré cela ma fille a mis un moment pour s’en remettre. Elle était effrayée par le noir profond et la dimension XXL de l’insecte. Pour ma mère et moi, ce fut une autre histoire, nous riions jusqu’aux larmes… « 

​​Le plus bel instantané ?

« J’ai choisi cette photo car je trouve qu’elle incarne bien le trio à travers ses trois générations et sa passion pour l’Afrique. C’est une image précieuse qui saura réveiller le souvenir nostalgique de ce voyage inoubliable. »

Le plus grand sujet d’étonnement ?

« En venant en Tanzanie du Sud, on s’attend parfois à trouver la savane, la brousse et les terres brulées de l’Afrique. Contre toute attente, nous nous sommes retrouvées face à une variété de couleurs et de paysages insoupçonnés. Ici ce n’est pas seulement jaune et doré. C’est aussi vert, boisé et foisonnant. Les arbres en fleurs du parc Selous, les eaux cristallines du lac Tanganyka, donnent l’impression d’être tantôt dans la jungle tropicale, tantôt dans une crique de l’océan indien. Ce fut pour ma mère, ma fille et même moi, qui possède une longue expérience de l’Afrique, un grand sujet d’étonnement et d’émerveillement. »

Un hébergement coup de cœur ?

« Notre lodge dans le parc de Selous était incroyable! Une oasis d’élégance, de sérénité, et de confort, sertie au cœur d’une réserve grande comme la Suisse. Dans ce lieu confidentiel et parfaitement coupé du monde, le luxe est partout. Il est dans les tentes de toiles, spacieuses, ouvertes et parfaitement intégrées dans leur environnement. Dans les douches d’où l’on peut entendre (ou voir, au choix) le hennissement des hippopotames qui s’abreuvent dans le lac, à deux pas de là. Il est aussi dans les rencontres que l’on y fait. La dimension humaine est tellement forte qu’elle vous emmène au-delà de l’hébergement. Le général manager du lodge, par exemple est un passionné des étoiles. Le soir, vous vous posez dans le jardin et il vous enseigne les constellations un verre à la main. Il n’y a ni pollution sonore, ni tracas, juste le partage, l’émerveillement et l’immensité de la voute céleste. Un vrai supplément d’âme pour vivre le « bush » des étoiles plein les yeux. »

Une recommandation particulière pour s’aventurer en Tanzanie du Sud ?

« Beaucoup de voyageurs me demandent « quelle est la meilleure période pour voyager en Tanzanie du sud ». Je réponds souvent « la saison sèche ». Mais en réalité chaque saison à son avantage. Nous avons privilégié le hors saison. C’était le début de la saison des pluies. Un très bon choix que nous ne regrettons pas. Les paysages étaient très verts. Il y a avait moins de monde aussi. Et l’impression d’avoir les parcs pour soi, ça n’a pas de prix… »

Un dernier mot ?

« C’est un joli souvenir de la fin du voyage qui aura le dernier mot de cette interview. Nous nous apprêtions à rejoindre l’aéroport quand une famille de guépards – il y en avait une dizaine – est venue nous saluer, en guise d’adieu. Ils tournaient autour de la voiture, à quelques pas de la piste de l’avion et prenaient leurs aises, en toute tranquillité. C’était comme s’ils voulaient nous retenir ici. Un moment que je n’oublierai jamais. »

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CITY BREAK – Riviera afro-chic – nos adresses

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– ADRESSES – 

A CHACUN SON ENVIE

Il y en a pour tous les goûts !

Belles adresses en maisons privées, restaurants décontractés en nappes blanches étoilées, artisanat local en boutiques design chic, usines réaffectées et quartiers à la foule arc-en-ciel en paysages naturelles de toute beauté, le Cap c’est tout à la fois.  

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Côté hôtels

– Belmond Mount Nelson Hotel –

A deux pas du centre-ville, au pied de Table Mountain, cet hôtel est le calme absolu au coeur d’un monde moderne et grouillant. Depuis les chambres, plein cadre sur la montagne et les jardins. Mes préférées ? Les suites dotées d’un balcon privé. Vieille institution relookée récemment, le Belmond Mount Nelson Hotel marie l’élégance à la tradition et au luxe. Et pour couronner le tout, deux courts de tennis, un green, deux piscines chauffées, un fitness, plusieurs restaurants…

– Ellerman House –

Plein cadre sur l’océan depuis cet hôtel situé dans la banlieue chic de Bantry Bay, à dix minutes à peine du V&A Waterfront et tout près de Camps Bay et de sa plage branchée. Derrière ses façades edwardiennes aussi lumineuses qu’élégantes, cet établissement distille une ambiance feutrée très stylée classique ou plus contemporaine en fonction des chambres mais toujours teintée d’oeuvres d’art.

-The Silo –

Plus qu’un hôtel, une oeuvre d’art. A deux pas du Seitz, le tout nouveau musée d’art contemporain, The Silo a installé ses chambres dans un ancien silo à grains. Repensé par le designer britannique Thomas Heatherwick, le lieu tout en béton orné de fenêtres en forme de globes oculaires géants, a fait de ses chambres un foisonnement de couleurs, de décoration matinée de baroque. La vue sur les docks est splendide, le restaurant excellent et l’esprit art omniprésent.

et bien d’autres…

V

Et pourquoi ne pas tenter l’expérience d’une maison privée?

Fermes cap-hollandaises remplies d’antiquités, cabanes de plage blanchies à la chaux ou encore adresses futuristes faites d’acier et de verre, créés par certains des plus grands architectes sud-africains. Louées nues ou avec toutes les commodités souhaitées, à votre convenance. Une ville dopée à la vitamine.

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Côté gastro !

Des espaces inventifs pour les amateurs de café mais pas seulement…

– Biker-shop/ Tribe 112 / café Los Muertos Motorcycles et son concept store / café House of Machines et Truth Coffee, avec en son cœur l’énorme rétro-futuriste Fabulous Coffee Bean Contraption –

Woodstock/The Old Biscuit Mill et son ancienne minoterie restaurée par des architectes talentueux pour profiter de gourmandises locales sur les étals d’un marché alimentaire populaire le samedi matin.

Hout Bay pour du poisson subtilement cuisiné, fraîchement péché. 

Des adresses modernes investies par des chefs étoilés: – Myoga, Bistrot Bizerca, Bistro Sixteen82 – 

Des classiques: 

– La Colombe –

Propulsé au top des meilleurs restaurants mondiaux par le Chef Franck Dangereux. Et pour une ambiance détendu toujours à l’image de ce cannois arrivé au Cap à l’âge de 20 ans,The Foodbarn à Noordhoek

Le plus en vogue, l’incontournable du moment:

– The Test Kitchen –  

Du chef étoilé Luke Dale-Roberts. Ambiance industrielle et véritable laboratoire des saveurs pour cette table aux multiples récompenses. Dans le top 50 des meilleurs restaurants au monde, à réserver longtemps, très longtemps à l’avance. Du même chef – The Pot Luck Club –  Restaurant / galerie sur le toit.

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Côté art de vivre

Il y a 10 ans, je ne vous aurai pas conseillé de vous y promener… Aujourd’hui je vous y invite vivement !

Rejoignez la rue centrale de Long Street, elle regorge de bars sympas, et dans les ruelles environnantes, c’est cupcakes party, Charly’s Bakery, Honest Chocolates, randos culturelles et graffitis tour sur les murs de District Six.

Échappez-vous sur les routes du Cap, quelques soient la direction prise, les alentours sont merveilleux à découvrir et ornées de beautés naturelles.

V

Balade shopping

Seul ou accompagné d’un spécialiste on découvre les magasins les plus branchés de la ville.

(en quelques Noms…)

Sur Bree Street: Missibaba pour ses célèbres sacs confectionnés cuirs et Kirsten Goss pour la joaillière.

Sur Hatfield Street: Okha, le magasin de meubles de style Scandi et Woodhead’s pour ses bottes de style Ugg.

Sur Long Street, dans le quartier du Cap et Tribal Trends:  Africa Nova pour des souvenirs locaux et élégants.

Et Woodstock, encore et toujours…

Ici, le samedi matin, les Capetoniens affluent vers l’usine de briques dépareillées à trois étages, là où les artisans locaux vendent leurs marchandises – des céramiques à Imiso, des savons fait main à base de plantes à Karoo Moon. 

Au numéro 66 Albert Road, le Woodstock Exchange est l’endroit où trouver les vedettes locales du meuble Pedersen + Lennard et les favoris de la mode Made in Maboneng. Au numéro 160,

The Woodstock Foundry abrite l’atelier moderne de meubles riempie de John Vogel et le populaire bijoutier Dear Rae.

Mais aussi, dans le même quartier, les galeries des quelques plus grands noms du monde de l’art sud-africain « What if the World, Goodman Gallery, Bell-Roberts et Stevenson… »

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Balade grandeur nature

En selfdrive ou avec chauffeur, en voiture de collection ou sur l’une de ces anciennes moto de caractère…

Chapman’s Peak au sud de Cape Point pour admirer les falaises côtières creusées par des prisonniers italiens pendant la Première Guerre mondiale.

Les plages de Clifton et de Llandudno, leurs sables blancs et leurs rochers ombragés surplombés de grandes demeures.

Noordhoek, où l’on part au galop le long de la Long Beach,

La pointe de l’Afrique, où Sir Francis Drake décrit comme «le plus beau cap que nous avons vu dans toute la circonférence de la terre».

Kalk Bay (côte est de la péninsule) pour se dégourdir les jambes et profiter d’un goûter fait maison d’inspiration new-yorkaise à Tribakery ou d’un verre de vin avec vue sur l’océan à Harbour House.

On se baigne à Muizenberg et on apprend à dompter les vagues à Surf Shack.

Et si c’est vendredi, on s’arrête sur le marché hippyish Bluebird Garage Market.

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